Au nombre des facteurs qui motivent la décision de l’Office, mentionnons le récent jugement sur la frontière de la zone terre-neuvienne au large des côtes et divers changements qui touchent l’industrie pétrolière en mer à Terre-Neuve et au Labrador. Le bassin Jeanne-d’Arc a atteint un niveau relatif de maturité sur le plan de l’exploration, si bien que l’intérêt de l’industrie se porte vers des zones océaniques plus profondes et vers d’autres bassins. Simultanément, plusieurs importants détenteurs d’intérêts, et leurs portefeuilles d’exploration, sont en cours de réorganisation.

Pour donner à tous ces éléments de l’industrie pétrolière en mer le temps de se stabiliser, l’Office a décidé de retarder sa vente de fonds marins pour 2002.

Entre-temps, l’Office rappelle que ses précédentes ventes de fonds assurent la poursuite de travaux d’exploration liés à des engagements d’une valeur de 500 millions de dollars, conformément aux autorisations déjà octroyées. On s’attend à ce que plusieurs puits d’exploration soient forés cette année au large de Terre-Neuve et du Labrador.

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